Ils l’ont fait

Retrouvez ci-dessous quelques productions de classes ayant participé à l’opération « Echos d’escale ».

Cette liste n’est pas exhaustive. Elle a pour objectif de vous fournir des idées et des pistes de productions à réaliser avec vos élèves, afin de valoriser vos expéditions virtuelles.

« Les classes ont beaucoup apprécié de travailler sur ce projet qui leur permettait, en géographie, d’approfondir la notion de changement global en travaillant sur l’escale de leur choix. Cette liberté leur a permis de se montrer curieux et de découvrir les thèmes qui les intéressaient le plus. Grâce à l’intervention du professeur d’art plastique, les élèves ont pu laisser libre cours à leur créativité pour créer une couverture originale pour leur magazine. Enfin, les élèves ont été enchantés d’échanger en direct avec une scientifique de l’équipage. Outre l’importance des microbiomes, ils ont pu ainsi découvrir de façon concrète le travail réalisé au quotidien par un scientifique. Cette rencontre les a enthousiasmés et a permis de donner du sens à l’ensemble du projet. »

« Dans un 1er temps, nous avons travaillé sur Jean de La Fontaine et lu différentes fables, afin de comprendre comment elles étaient construites et trouver leurs caractéristiques (personnages, morale, écriture). Dans un 2nd temps, nous nous sommes informés, par le biais de plusieurs visioconférences avec des chercheurs, sur différents thèmes. Dans un 3ème temps, nous avons, par groupe, commencé notre travail d’écriture en opérant des choix (thème abordé, personnages, morale). Ce qui nous a amené à rédiger notre fable. Dans un 4ème temps, nous avons réalisé nos illustrations (dessin ou photomontage). Pour finir, nous avons enregistré le texte de notre fable qui a été relié à un QR-code afin de permettre une interactivité de notre exposition.

Nous avons beaucoup apprécié ce projet qui nous a permis de mêler plusieurs matières (français, SVT), de comprendre le travail de différents chercheurs, et qui nous a donné la possibilité de mettre en valeur notre travail, au sein du collège, en le montrant à nos camarades des autres classes ainsi qu’à notre famille lors de la journée portes ouvertes. »

  • Une classe de CM1-CM2 de l’école François Guibault (Académie de Nantes).

« J’ai bien aimé réaliser cette œuvre, ça m’a appris à communiquer pour former un œuvre d’art, j’ai pris plaisir à le faire !

Je trouve qu’on a créé une œuvre façon Picasso, avec des lignes un peu déformées, ça rend bien !

C’était une bonne idée de faire cela, on s’est amusé et il fallait aussi de la patience ! »

  • Une classe de CM2 de l’école primaire de Revel Tourdan (Académie de Grenoble).

 « Les élèves ont travaillé sur la question « comment utiliser plus d’énergies renouvelables dans la vie de tous les jours ? ». Ils devaient y répondre en créant des maquettes avec des énergies renouvelables et uniquement du matériel recyclé.

Plusieurs groupes de travail ont été constitués, hétérogènes, avec des élèves qui n’avaient pas forcément l’habitude de travailler ensemble.

C’est un projet très riche où tous les élèves s’impliquent surtout ceux qui sont généralement en difficultés car ils peuvent s’exprimer, participer à toutes les activités manuelles, et ils rentrent alors aussi dans les écrits. »


  • Une classe de CM2 de l’école Charles Perrault à Beauvoir-sur-Niort (Académie de Poitiers).

  • Une classe de CM1/ CM2 de l’école primaire de Pommiers la Placette (Académie de Grenoble).

« Chaque escale a servi de prétexte à un exposé présenté en classe.  La chanson a été écrite collectivement et nous prenons toujours plaisir à la chanter ! »

  • Une classe de CE2-CM1-CM2 de l’école Jacques-Yves Cousteau à Tiffauges (Ac. Nantes).

« Les ressources « Échos d’escale » ont été le support pour préparer la salle 2 de notre musée qui avait pour thème « la grande traversée ». Les élèves ont imaginé une traversée des océans. Chaque groupe était responsable d’une escale. 
Les élèves ont retenu grâce à ces exposés de grands enjeux écologiques actuels : Zoé se souvient de la découverte des îles Galapagos et de leur faune particulière, Rayan n’a rien oublié des plages de sables noirs de Tahiti, Louise se souvient de la pollution plastique des océans qu’elle avait illustrée, Divine et Malaïka sont incollables sur l’histoire de Rapanui et évoquent encore le problème de la déforestation de l’île, tous ont retenu le nom des algues Sargasses qui deviennent un problème près des côtes. 
Notre projet, entre fiction et réalité, a marqué les esprits dans et hors la classe ! Les supports proposés par Tara nous ont beaucoup servis. »